Qu’est-ce qui t’a motivé à devenir sentinelle écologique ?
Être sentinelle écologique, ce n’était pas pour moi seulement faire une simple action de suivi mais aussi prendre part à un projet qui oriente le développement du territoire. Les communes qui ont adhéré au Pacte représentent 62% de la population d’Iparralde.
Après, je reviens de plusieurs années à l’étranger et je trouvais qu’être sentinelle pouvait être un bon moyen de me reconnecter au local.
En quoi consiste ta mission ?
C’est plus simple en milieu rural où tout le monde se connaît. J’ai contacté les maires des villages que j’ai choisi de suivre (Anhaux, Irouléguy, Banca, Urepel, les Aldudes), je me suis entretenu avec eux et nous avons fait un état des lieux des pratiques existantes ainsi que des projets en cours.
Quels sont les premiers retours ?
Les communes que je suis sont toutes signataires du Pacte et c’est vrai que le suivi est une mission agréable. Les équipes municipales se sont montrées disposées et intéressées par la démarche. J’ai été invité à boire plusieurs cafés 😉.
Que t’apporte ce type d’engagement ?
Par le biais de sympathiques rencontres et une implication peu chronophage, je participe à un projet très ambitieux et fédérateur. Je fais aussi le lien entre certains villages du Pays-Basque intérieur, très dynamiques, avec le reste des communes du pacte.
Pour rappel, les mesures du Pacte de Métamorphose écologique du Pays Basque
