L’excès d’éclairage artificiel ne prive pas seulement de la beauté du ciel étoilé. Il est aussi une source de perturbations pour la biodiversité et représente un gaspillage énergétique considérable. L’éclairage public correspond à 41 % de la consommation d’électricité des communes hexagonales et émet 670 000 t de CO2 par an.
Depuis le 27 décembre 2018, un arrêté ministériel encadre les installations d’éclairage extérieur sur l’espace public ou privé, celles du patrimoine (bâti, jardins, parcs), des bâtiments non résidentiels (bâti et vitrines), des parcs de stationnements non couverts ou semi-couverts. Selon les cas, l’extinction doit s’opérer au plus tard 1h après la cessation d’activités, le rallumage à 7h du matin ou 1h avant le début de l’activité si celle-ci s’exerce plus tôt.
Pour rejoindre les sentinelles écologiques et participer à la métamorphose du territoire, cliquer ici ou nous contacter par mail à hitzahitz@bizimugi.eu pour plus d’informations.